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parlement européen - Page 2

  • Prolongation du passeport sanitaire

    Publié par Guy Jovelin le 15 juin 2022

    Prolongation du passeport sanitaire

    Le deuxième tour des élections législatives n’est pas encore passé, mais les autorités européennes ont déjà pris l’engagement que le certificat numérique mis en place pour la pandémie de Covid pourra rester actif en Europe jusqu’à l’été 2023.

    C’est ce qu’ont décidé les députés du Parlement européen et les États-membres du Conseil européen, lundi 13 juin. Sa prorogation va être votée par les eurodéputés, les 23 et 24 juin prochains.

     

    Source : lesalonbeige

  • Le Parlement européen envisage un « registre de présence biométrique »

    Publié par Guy Jovelin le 04 mai 2022

    Le Parlement européen poursuit ses projets pour un « registre de présence biométrique ». Les députés devraient faire scanner leur empreinte digitale pour attester de leur présence et recevoir l’indemnité journalière. Le vote sur le sujet aura lieu demain.

     

    Source : medias-presse.info

  • Le Parlement européen demande de remplacer « sexe » par « genre » dans une directive sur la transparence salariale

    Publié par Guy Jovelin le 07 avril 2022

    Auteur : 

    Nous avons reçu le communiqué suivant :

    COMMUNIQUÉ DE PRESSE

    Le Parlement européen demande de remplacer « sexe » par « genre » dans une directive sur la transparence salariale

    Strasbourg, le 6 avril 2022

    Le Parlement européen a décidé hier de contourner un débat en plénière sur un rapport pourtant sensible qui demande de remplacer l’expression « sexe » par « genre » dans une directive européenne.

    Ce rapport répond à la proposition de directive de la Commission européenne visant à réduire l’écart de rémunération entre les hommes et les femmes par la mise en œuvre de mesures de transparence salariale. Le 17 mars 2022 la Commission de l’emploi et des affaires sociales et la Commission des droits des femmes et de l’égalité des genres ont adopté un rapport sur « Renforcer l’application du principe de l’égalité des rémunérations entre hommes et femmes pour un même travail ou un travail de même valeur par la transparence des rémunérations et les mécanismes d’exécution », qui amende la proposition de la Commission.

    Selon la procédure de codécision, suivant un vote en Commission, le Parlement européen peut soit débattre du rapport en Plénière, soit directement engager dans les négociations interinstitutionnelles avec les autres organes législatifs de l’UE, sans un vote de l’ensemble des 705 députés. Cette dernière option a été choisie hier par le Parlement européen.

    Le contenu de ce rapport est pourtant particulièrement problématique et aurait dû faire l’objet d’un débat ouvert et démocratique. En effet, il remplace systématiquement la mention de « sexe » par « genre ». Les mentions « femmes » ou « hommes » sont remplacées par « travailleurs de genre différent ».

    La Vice-Présidente de la FAFCE, Angelika Weichsel Mitterrutzner, a souligné que, comme l’a déclaré la Commission, « si l’objectif de cette directive est de lutter contre l’écart de rémunération entre les hommes et les femmes, quel type de protection ces mesures mettront en œuvre si aucune mention n’est faite des femmes? ».

    Le Président de la FAFCE, Vincenzo Bassi, note que « le texte, tel que modifié par le Parlement européen, changerait un texte auparavant basé sur le droit européen en termes de discrimination basée sur le sexe en une vague condamnation des discriminations salariales pour différents motifs. Le véritable enjeu n’est pas seulement idéologique ou formel : le risque ici est de fragiliser la protection des femmes sur le marché du travail, surtout si elles sont mères. Avec les changements proposés, la discrimination des femmes ne fera plus l’objet de cette législation ».

    Une directive est un acte légal de l’UE ayant des effets légaux directs dans les législations nationales. Cela créerait un précédent dans le droit de l’UE avec l’utilisation du terme « genre » pour remplacer « sexe ».

    La FAFCE appelle tous les décideurs de l’UE – la Commission européenne, le Parlement européen et le Conseil de l’UE – à éviter une directive qui négligerait et affaiblirait la protection des femmes des discriminations salariales.

     

    Source : medias-presse.info

  • Le Parlement Européen vote en faveur de nouvelles règles pour favoriser l’immigration économique légale

    Publié par Guy Jovelin le 26 novembre 2021

    fdesouche Francois 25/11/2021 à 23h36

    • Un vivier de talents pour mettre en relation les employeurs de l’UE et les travailleurs non-européens
    • Un dispositif d’admission spécifique pour les travailleurs peu et moyennement qualifiés et les entrepreneurs
    • Favoriser la mobilité intra-européenne des résidents de longue durée non-européens et réduire la bureaucratie

    La Commission devrait faire des propositions d’ici janvier pour faciliter la migration économique légale pour relever le défi d’une population vieillissante et de la pénurie de compétences.

    Les députés ont adopté jeudi, par 497 voix pour, 160 contre et 38 abstentions, un rapport d’initiative législative sur la migration économique légale. Dans ce texte, ils soutiennent la création d’un vivier de talents, sur la base du portail EURES existant, pour mettre en relation les demandeurs issus de pays tiers avec des employeurs basés dans l’UE, afin de réduire la pénurie de main d’œuvre dans les États membres.

    Le Parlement plaide pour un dispositif d’admission ambitieux pour les travailleurs peu ou moyennement qualifiés issus de pays tiers, ainsi que pour un cadre pour la reconnaissance des compétences et des qualifications. La migration légale vers l’UE par des entrepreneurs devrait être facilitée via un dispositif européen d’admission pour l’entrée et la résidence des personnes souhaitant créer des entreprises et des start-ups, et pour les travailleurs très mobiles tels que les artistes et les professionnels de la culture. Les députés souhaitent que la Commission créée un visa à entrées multiples d’une durée de cinq ans permettant des visites jusqu’à 90 jours par an.

    Modifier les législations existantes sur la migration légale

    Les députés demandent une révision des règles en place pour les ressortissants de pays tiers résidents de longue durée, afin de leur permettre de s’installer dans un autre État membre dès le jour de délivrance de leur permis, dans des conditions similaires à celles qui s’appliquent déjà aux citoyens de l’UE. Le nombre d’années requises pour acquérir un permis de séjour européen de longue durée devrait être réduit de cinq à trois.

    Le rapport adopté aujourd’hui exige également de simplifier les procédures de demande, notamment pour les visas, dans la législation existante sur les permis uniques. Cela permettrait d’introduire des demandes d’asile à la fois à l’intérieur d’un État membre – si le demandeur possède un permis de séjour valide – et à partir d’un pays tiers.

    En outre, les députés proposent de modifier les règles existantes sur les travailleurs saisonniers, afin de leur permettre d’être au chômage pendant une période allant jusqu’à trois mois – afin de chercher un nouvel emploi – sans que leur permis existant soit révoqué.

    Citation

    Le rapporteur Abir Al-Sahlani (Renew Europe, SE) a déclaré: ‘‘L’Europe fait face à des défis démographiques et économiques. Pour relever ces défis et garantir que l’Europe soit forte et compétitive, nous avons besoin de la migration économique. C’est un fait. Nous devons rendre plus attractif pour les migrants économiques le fait de s’installer en Europe et nous devons mettre de l’ordre dans le système et nous assurer que les règles sont respectées.’’

    Prochaines étapes

    Comme le prévoit le règlement intérieur du PE, la Commission a jusqu’au 31 janvier 2022 pour présenter des propositions facilitant et promouvant l’entrée et la mobilité au sein de l’UE des travailleurs issus de pays tiers en situation régulière.

     

    Parlement Européen

  • Christine Anderson du Parlement européen : « Jetez-moi en prison, mais vous ne pourrez jamais me contraindre à votre vaccination »

    Publié par Guy Jovelin le 02 novembre 2021

    il y a environ 22 heures

    Christine Anderson, députée européenne (Alternative pour l’Allemagne) : partout en Europe, les gouvernements font pression sur les citoyens pour qu’ils se fassent vacciner. Ce n’est qu’ainsi que la « pandémie » serait contenue, alors seulement nous retrouverions notre liberté. Mais rien de tout cela ne s’est réalisé, malgré le taux de vaccination élevé. Les personnes vaccinées peuvent être infectées et aussi tomber malades malgré la vaccination. Seul Big Pharma en a profité ici.

    La prudence est de mise lorsque les élites politiques parlent du bien-être du peuple. Il faut se poser la question, à qui est-ce bon au final ? Les méthodes actuellement observées des dirigeants sont celles d’États oppressifs. Je m’y oppose de toutes mes forces !

    « En ce qui me concerne, je ne serai jamais vaccinée avec un produit qui n’a pas été testé et qui ne me montre pas que la balance bénéfice/risque est positive, sans effet secondaire à long terme, ce qui n’est à ce jour pas garanti avec ces vaccins. Je ne serai pas réduite à un cobaye de laboratoire et je ne me vaccinerai pas sous prétexte que mon gouvernement me l’impose contre la liberté. PERSONNE N’ACHÈTE MA LIBERTÉ, CAR JE SUIS UNE PERSONNE LIBRE. Je mets au défi la Commission européenne et le gouvernement allemand de me jeter en prison. Mais vous ne pourrez jamais me contraindre à votre vaccination, si le citoyen libre que je suis, décide de ne pas l’être ».

    Le 20 octobre 2021, les membres du Parlement européen, à savoir Christine Anderson (Allemagne, AfD), Francesca Donato (Italie, NI), Ivan Vilibor Sinčić (Croatie, NI) et Cristian Terheş (Roumanie, ECR) se sont réunis pour donner une voix à tous les citoyens européens qui sont de plus en plus confrontés à des représailles étatiques en lien avec le Covid, entre autres par le biais du « certificat numérique covid » de l’Union européenne (certificat vert numérique).

    Transcription : 

    « Oui, eh bien, le plus gros problème que je vois en rapport avec cette crise du covid est que les droits civils fondamentaux sont de plus en plus restreints, et je ne peux pas expliquer pourquoi les citoyens des États membres laissent faire.

    Je pense qu’une explication à cela pourrait être que – et c’est un grand désavantage des sociétés démocratiques libres – elles atteignent un moment donné où elles croient que la démocratie, l’État de droit et la liberté sont en quelque sorte quelque chose de divin et ont toujours existé. Et on ne se soucie plus du tout du fait que, non, ces choses ont dû être arrachées dans le sang aux dirigeants. Il n’y a donc plus du tout de compréhension de la valeur de la liberté elle-même. Et c’est ce que nous voyons maintenant dans cette crise. En principe, les droits fondamentaux – en Allemagne, ils sont constitutionnellement ancrés dans la Loi fondamentale – sont simplement distribués par les gouvernements comme des privilèges ou retirés à nouveau. Et on a l’impression que les droits fondamentaux ne peuvent être revendiqués que par ceux qui se comportent bien. Et je dois le dire très clairement : je n’ai pas peur du covid. Ce dont j’ai réellement peur, c’est des gouvernements qui exploitent de telles « crises » pour restreindre les libertés civiles et les accorder ou non, tels des privilèges. Et cela doit cesser, c’est ce que nous défendons en Europe, la liberté, la démocratie et l’État de droit. Et aucun gouvernement ne devrait, ne peut ou ne pourra jamais les restreindre sous quelque prétexte que ce soit. Et c’est là le grand problème, et nous devons nous y attaquer, et nous devons le faire comprendre aux Européens : qu’ils ne laissent pas cela durer plus longtemps. Merci beaucoup ».

    source : https://lemediaen442.fr via lesmoutonsrebelles